Pluie
Je dédie ce poème à une femme qui a choisi de fermer les volets de sa maison.
Il pleut
La journée se détire
Elle n’en finit plus
Elle pleure
Sa vie se détruit
Dure à n’en plus finir
La nuit
Prendra-t-elle le risque
De fermer les volets ?
Annie Raynal-Andrieu
Tous droits réservés - nov. 2009